Les attentats du 11 septembre 2001Quelques graffeurs ont mis la main à la pâte (bombe) après la catastrophe qui a vu l'Amérique transformée.
De même, beaucoup de rappeurs comme Rockin Squat, Medine, Kenny Arkana ont abordé le sujet dans leur rap.
Plus bas, vous trouverez un résumé de l'argumentaire qui remet en cause la thèse officielle.
Les grafs :Third Avenue & Claremont Parkway, Bronx NYC
Corner Post & 10th Avenues, Manhattan NYC
RapEt parce que les bombes n'ont que la parole du silence, il aurait été dommage d'omettre l'album de Médine, un jeune rappeur de 23 ans.
Dans son nouvel opus, "11 septembre", il rend hommage aux nombreuses victimes, directes ou indirectes, des attentats du World Trade Center.
"J'recrache le drame du monde qui nous entoure.
Bizarrement le vent souffle en bas des tours
L'envers du décor j'le rapporte sans détour
Ni contre ni pour, Récit du 11eme jour
Le beurre a fondu, chauffé par l'argent
Arabes-Occidents et dents contre dents
L'Oeil est au cou et dans le reflet du Taubou
de L' ile de Corée jusqu'au champ de coton
Tu comprends rien, tant mieux car moi non plus
Alors, écoutes bien l'histoire depuis l'début
Ecrire et réecrire pour s'faire entendre
Ecoutes ma saison de septembre à septembre
Y'a bien longtemps que l'on cultive la Paix
A l'exemple de l'arbre frutier
Vivre en paix, se contenter de ce qu'on a :
Un Coran, une bouteille d'eau, et les falaises D'abou-Mania"http://www.rap2france.com/paroles-medine-11-septembre.php
ARTICLEVoici un extrait du livre de Aymeric Chauprade, "Chronique du choc des civilisations".
Professeur de géopolitique à l'Ecole de guerre et invité dans de nombreuses universités étrangères, Aymeric Chauprade a été privé de sa chaire au collège interarmées de défense, sur une décision du Ministre de la Défense Hervé Morin.
Dans cet extrait, Aymeric retrace les différents arguments qui remettent en cause la thèse officielle du 11/09.
Le texte est intéressant car il regroupe de façon concise les différents éléments que l'on a pu trouver dans les médias depuis les évènements.
"WTC : les tours minées ? 1. L'incendie (cause officielle de l'effondrement des tours jumelles) ne peut être responsable de l'effondrement de bâtiments aux structures d'acier. Alors que le Meridian Plazza de Philadelphie, en 1991, a brûlé 19h sans s'effondrer, les tours Sud et Nord se seraient respectivement écroulées au bout d'une heure et deux heures d'incendie, ceci quand le Scientific American (octobre 2001) affirme que rien n'a jamais été construit d'aussi solide que le WTC. L'incendie n'a pas été si violent que le prétend la commission d'enquête, puisque selon la FEMA (Federal Emergency Management Agency, organisme étatique), le kérosène s'est volatilisé dans l'explosion ; des photos attestent d'ailleurs de la présence de survivants dans les étages éventrés par les avions, ce qui prouve que la température n'a pu y atteindre des sommets. Même en admettant que le kérosène ait créé un incendie intense, sa température maximale de combustion n'étant que de 980°C, il n'a pu faire fondre l'acier de la tour, car l'acier ne fond qu'à 1370°C. le test dit de Cardington atteste qu'un immeuble d'acier résiste à des températures très supérieures à celle de la combustion du kérosène. Le Fire Engineering Magazine, référence dans la science du feu, soutient qu'aucun bâtiment d'acier n'a jamais été détruit par le feu et que l'enquête sur le WTC ne fut qu'une "farce grossière".
2. L'onde de choc n'a pas pu provoquer l'effondrement. Les tours ont résisté à des bourrasques et à des tempêtes qui ont exercé sur elles des pressions bien supérieures à celles causées par l'impact d'un avion. Lors du crash, chaque tour a légèrement bougé, comme lors d'un léger tremblement de terre, mais elle est revenue à sa position initiale.
3. La manière dont les deux tours jumelles se sont effondrées est également inexplicable si l'on s'en tient à la version officielle. Car les bâtiments se sont affaissés à la vitesse maximale de la gravité (la tour Sud s'est écroulée en 8 secondes, soit 10 étages par secondes), alors que chacun des étages auraient dû ralentir leur chute. Seule une démolition contrôlée par des explosifs permet d'obtenir un effondrement aussi rapide et parfait. Le rapport du physicien américain Eric Hufschmid de janvier 2002, "Clouds of Concrete", souligne que l'expulsion violente et lointaine du béton à des dizaines de mètres à l'horizontale des étages indique la présence d'explosifs à chaque étage.
4. Les tours jumelles avaient été mises hors tension les 8 et 9 septembre. Plusieurs sites alternatifs font état du témoignage de Scott Forbes, employé de la Fiduciary Trust située dans la tour Sud, qui s'est interrogé sur la présence de multiples équipes d'intervention et le fait que le système de sécurité et de surveillance ait été désactivé durant 30h.
5. Plus troublant encore est le mystère du bâtiment 7 du WTC, également construit en acier. Celui-ci, qui pourtant n'avait été frappé par aucun avion, s'est brutalement désintégré à 17h30. Le FEMA's repport on the collapse reconnaît prudemment que "les détails sur les incendies du bâtiment 7 et la façon dont ils ont provoqué l'effondrement sont inconnus".
6. Mystère qui débouche sur l'étrange M.Larry Silverstein, propriétaire du WTC seulement depuis le 24 juillet 2001 et qui s'était employé à remplacer le personnel d'entretien et de sécurité. L'homme, qui réclama deux fois sa police d'assurance au motif que les tours jumelles avaient subi deux attaques distinctes, expliqua lui-même (America Rebuilt, PBS Home Video) qu'il avait demandé aux pompiers de "tirer" le bâtiment 7 (terme qui désigne une démolition contrôlée). Hors, comment les pompiers de New York, lesquels ne disposaient pas des personnels qualifiés dans le domaine de la démolition contrôlée, auraient-ils pu placer en moins de sept heures les explosifs aux bons endroits dans un bâtiment qui, selon la version officielle, brûlait, quand on sait qu'une implosion préparée demande au minimum deux semaines ?
7. Le bâtiment 7 n'était-il pas le centre de contrôle qui aurait servi à la démolition de l'ensemble ? Quelques mois plus tôt, le 23ème étage avait rénové dans le but d'en faire un centre de commande des situations d'urgence pour la mairie de New York. Cet étage disposait de ses propres réserves d'air et d'eau et pouvait résister à des situations exceptionnelles (souffle d'explosion, projection de poussière et débris, etc.). Il offrait une vue idéale sur l'ensemble des bâtiments du WTC. "..."
8.Larry Silverstein avait un contrat avec Controlled Demolition INC, une société qui, avant d'obtenir le marché de déblaiement du WTC, avait démoli l'immeuble d'Oklahoma City que Timothy McVeigh fut accusé d'avoir détruit. Cette entreprise maîtrise un procédé spécifique de destruction par explosif des structures de métal. Sa filiale britannique indique que "DREX segmente vos composants de métal en morceaux correspondant à la capacité de vos équipements d'enlèvements". Hors, les photos des opérations de déblaiement du WTC revèlent une étrange coïncidence : la structure de métal des deux tours s'est brisée en morceaux dont la longueur ne dépasse pas celle des camions d'enlèvements !La thèse des explosifs est illustrée par un autre fait : une carte thermique des gravats du WTC fournie par la NASA, montre que, 5 jours après les attentats, la température à l'intérieur des sous-sol du bâtiment 7et de la tour Sud était encore supérieure à la température de fusion de l'acier. Seuls les explosifs comme le C4, qui porte la température à plus de 1600°C, peuvent expliquer la fusion des structures des sous-sols des tours, mais, en avril 2002, les derniers gravats furent enlevés et les poutres d'acier vendues à la Chine. Les tenants du complot américain accusent le gouvernement d'en avoir éliminé les traces. La thèse de l'explosion est soutenue par de nombreux témoignages oraux (policiers, pompiers et civils) et documents vidéo qui font état de plusieurs détonations à la base de la tour 1, juste avant le début de l'effondrement. Parmi ces témoignages, celui de William Rodriguez, gardien des tours, brûlé par l'incendie, qui affirme avoir entendu des explosions. Il accuse la Commission d'avoir omis les témoignages des personnes qui en parlaient.
9. Des pilotes kamikazes ? Les opposants à la thèse officielle mettent en avant les doutes de leurs instructeurs. L'instructeur de Hani Hanjour (officiellement le pilote du vol AA 77 qui s'écrasa sur le Pentagone) déclara au New York Times : "Je n'arrive pas à croire qu'il ait pu frapper le Pentagone car il ne savait pas piloter ; il semblait s'en ficher de ne pas avoir les niveaux, de ne pas réussir." Tous les témoignages s'accordent sur le faible niveau des islamistes qui suivaient ces formations. Comment expliquer alors que, selon les aiguilleurs du ciel, les virages en piqué des avions sur les tours jumellesaient été si purs et si fluides ? Russ Wittenberg, qui fut pilote de l'US Air Force et pilote de ligne sur 757 et 767, doute quant à lui que les terroristes aient pu amener les avions sur les cibles et que les pilotes aient abandonnés le cockpit à des hommes seulement armés de rasoirs. Quant à l'école de pilotage de Venice (Floride), elle est pointée du doigt pour ses liens historiques avec la CIA.
10. L'étrange échec du commandement de la sécurité aérienne , le NORAD, intrigue aussi beaucoup. L'année précédente, le NORAD pouvait se targuer de 67 intercepetions d'avions sortis de leur route, à chaque fois en moins de 20 minutes, soit un taux de réussite de 100% (source: Associated Press). Pourquoi alors, dans la seule matinée du 11 septembre, un échec ? "..."
Le Pentagone.1. Les terroristes, qui provoquèrent la mort de 2500 personnes dans le WTC, auraient-ils été assez stupides pour frapper la seule partie vide d'un bâtiment, le Pentagone, où travaillaient habituellement 20 000 personnes ? L'aile touchée était en rénovation ; elle devait voir ses murs et fenêtres renforcées face à une attaque d'un missile de croisière ou d'un drone...Pour frapper cette aile en venant de la direction opposée, l'avion, si c'est le vol AA 77, a dû opérer un virage de 270°.
2. Alors que les vidéos montrant les deux tours jumelles frappées sous de nombreux angles abondent, l'administration n'a pu exhiber aucune vidéo de l'avion qui percute le Pentagone. Bien au contraire, le FBI a confisqué les images des caméras d'une station-service (Citgo) et d'un hôtel (Sheraton) qui ont filmé la scène. Quant aux images prises par une caméra de sécurité, où l'on distingue un sillage de fumée, elles laissent perplexes quant à la possibilité qu'un avion de 40m de long et de 36m d'envergure s'y dissimule. En outre, comment un Boeing a-t-il pu passer en rase-mottes, si près du sol pour frapper un rez-de-chaussée à 640km/h, au-dessus d'automobilistes, sans que ceux-ci aient gardé le souvenir d'un bruit assourdissant ?
3. Lorsque la navette Columbia a explosé à 65km au-dessus du texas en 2003, à la vitesse de 19 000km/h, avec ses 7 astronautes, on a retrouvé des lambeaux humains et des débris de l'appareil sur des centaines de kilomètres. Comment expliquer l'absence de débris significatifs et de morceaux de corps dans le cas du vol AA 77 ? En comparant les photographies de la pelouse du Pentagone avec les sites de catastrophes aériennes comparables, on ne peut qu'être frappé par la rareté des débris. Où sont passés les 60 tonnes des moteurs, fuselage, des sièges, des bagages et bien sûr des passagers ?
4. Le drone Global Hawk ressemble à un petit boeing. Il est silencieux, vole à 18 000m d'altitude sans se faire repérer par les radars (les aiguilleurs ne le verraient donc pas venir, hors, c'est ce qui s'est passé pour le AA 77) et son explosion laisserait, du fait qu'il est composé pour moitié de fibres de carbone et de résine, seulement 2 tonnes de débris. Avec lui, la pelouse du Pentagone ne serait jonchée que de quelques morceaux d'aluminium peu épais, et de fragments de moteur, à l'image de celui que l'on retrouve sur une photo et qui est bien trop petit pour appartenir à un 757. Officiellement, en décembre 2002, l'armée américaine déplorerait la perte de deux Global Hawks en opération, sans que l'on en connaisse la cause (source : Christophe Bolen, reporter).
5. Pourquoi les senseurs sismiques qui ont enregistré les impacts des appareils crashés sur le WTCn'ont-ils rien enregistré de significatif dans le cas du Pentagone ?
6. En 1962, une opération secrète dire "Opération Northwoods" prévoyait de faire disparaître un avion de ligne avec ses passagers, de le remplacer par un avion sans pilote, puis de l'abattre afin d'attribuer l'incident aux Cubains et justifier ainsi l'entrée de l'Amérique en guerre contre Cuba (source : Freedom of Information Act)".